Enregistrement

L’administration de l’enregistrement, qui prend la suite de celle du contrôle des actes, est mise en place par les décrets des 5-19 décembre 1790 (avec effet au 1er février 1791) et des 8, 9 et 15 mai 1791.

Les actes passés devant notaire et sous seing privé sont enregistrés – c’est-à-dire recopiés en partie ou intégralement – dans des registres spécifiques dans le bureau dans le ressort duquel se situe la commune du ou des biens concernés.

Généralement, à la création, il existait un bureau par canton. Des suppressions et rattachements furent entrepris au cours du XXème siècle (dès 1911 en Haute-Garonne). A partir de 1969, les bureaux ou pôles enregistrement se confondent avec les centres des impôts.

La sous-série 3 Q se compose de deux parties :

  • les instruments de recherche (tables alphabétiques et chronologiques et comptes fiscaux des particuliers appelés « comptes » du répertoire général créé en 1866)
  • les registres de formalités.

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la présentation de l'enregistrement.

Le classement des registres de l’enregistrement est encore en cours. Seuls les inventaires définitifs ont été mis en ligne : pour certains bureaux, les inventaires des registres de formalités, encore provisoires, sont consultables uniquement en salle de lecture.

A terme, l’ensemble des tables et répertoires sera consultable en ligne. Les tables qui ne sont pas encore accessibles en ligne sont en cours de restauration ou de numérisation. Elles ne sont donc pas consultables en salle de lecture.


Le fichier alphabétique du répertoire général est actuellement en cours de classement en vue de sa numérisation et de sa mise en ligne. A l’exception des fiches en cours de numérisation, les fichiers qui ne sont pas en ligne sont communicables en salle de lecture.
Les registres de formalités sont consultables uniquement sous forme d’originaux en salle de lecture.

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