Passage clandestin de la frontière, signalement d'arrestations et de gardes à vue par les autorités allemandes (1943, 25 septembre) ; coups de feu dans la cour de la gare Matabiau (1943, 7 octobre) ; arrestation d'un trafiquant de cartes d'identité (1943, 11 octobre) ; remise du corps aux autorités françaises d'un employé des Postes et télégraphes (PTT) arrêté par la police allemande (1944, 9 octobre) : rapport du commissaire du 1er arrondissement, au commissaire central (1943, 21 octobre) ; impasse du Commandeur Cazeneuve, fusillade au cours d'une arrestation (1943, 30 octobre) ; restaurant « La Rôtisserie bordelaise », altercation entre un gardien mobile de réserve (GMR) et deux agents de la Gestapo (1943, 18 novembre) ; placement en garde à vue d'un soldat de la Légion des volontaires français contre le bolchévisme (1943, 19 novembre) ; visite domiciliaire par un commandant des services de haute surveillance allemande (1943, 13-20 novembre) ; refus de présentation de ses papiers par un membre des « Jeunes de l'Europe nouvelle » (1943, 8 décembre) ; Union générale des Israélites de France (UGIF), fermeture des bureaux situés 7 rue Caffarelli : renseignements (1943, 9 décembre) ; Pouvourville, quartier des Arquets, avion bimoteur allemand abattu (1944, 7 janvier) ; hôpital Purpan, remise à la police française du corps d'un homme décédé des suites de ses blessures contractées lors des combats d'Arfons (Tarn) (1944, 21 février) ; vérification d'identité d'un détenu décédé dans la partie allemande de la prison Saint-Michel (1944, 5-17 mars) ; chemin des Capelles, soldats de l'armée allemande surpris par la Défense passive, fouillant un immeuble détruit par le bombardement (1944, 13 avril) ; Quartier Ginestous, Français gardien de vaches violemment molesté par un militaire allemand en état d'ébriété (1944, 15 avril) ; tentative d'extorsion de fonds au préjudice d'une limonadière par de faux policiers dont un auxiliaire de la police allemande, demande de transmission de plainte par la police de sûreté allemande (1944, 6-8 mai) ; docker abattu par un civil allemand, à la suite d'une altercation (1944, 20-21 mai) ; arrestation de personnalités des administrations préfectorale et municipale, de la police, de la gendarmerie, de l'académie, des Ponts et chaussées, de la magistrature, de la presse, de la démographie, de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), des Postes et télégraphes (PTT) pour des motifs inconnus et remise en liberté de deux d'entre elles (1944, 9 juin) ; fusillade entre Allemands et gardes de la Milice, rue Alexandre Fourtanier, un milicien tué, un autre blessé ainsi qu'un gardien de la paix (1944, 11 juin) ; perquisition au n° 60 allées Saint-Simon, ressortissant allemand en fuite abattu par la police allemande (1944, 13-15 juin).