Environ 300 lettres envoyées par Bernard Elichiry à son épouse, Marie. Il lui écrit quasiment tous les jours, de sa mobilisation (août 1939) jusqu'à la fin de sa captivité au Stalag IV A à Elstenhorst (mai 1945). Les lettres s'espacent toutefois dans les derniers mois. Ses envois étaient conditionnés par les autorisations accordées, ainsi que par les cartes et le papier disponibles. Les réponses de Marie n'ont malheureusement pas été conservées, puisqu’à la libération du camp, Bernard n’a pas emporté les lettres avec lui. On peut toutefois lire en filigrane ses préoccupations au travers des réponses de Bernard.

Un petit carnet dans lequel B. Elichiry consigne tous les jours son parcours, de sa mobilisation jusqu’à son arrivée dans une caserne à Colmar le 13 juillet 1940, où sont rassemblés des prisonniers.

Des documents officiels en lien avec les activités militaires de B. Elichiry.

Des photographies (avant et pendant la guerre au camp de prisonniers notamment).

Tout a été reconditionné dans des chemises et boîtes neutres par Geneviève Rigolet préalablement au prêt des documents pour numérisation aux Archives départementales de Haute-Garonne.

Prêt pour reproduction

Initialement, les lettres et cartes étaient classées par année et retenues par des élastiques, le tout rangé dans un carton à bouteilles de champagne. Geneviève Rigolet a revu ce classement. Avant la numérisation, quelques modifications marginales ont été opérées.

Concernant les papiers personnels et les photographies, il n'existait pas de classement préalable. Geneviève Rigolet les avait rassemblés dans une chemise. Ils ont été classés séparément chronologiquement, séparément des lettres.

Par référence aux textes réglementant la communicabilité des archives.

Documents non reproductibles.