Critère(s) de recherche: voiture
62 réponses dans cet inventaire
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9. Casablanca : voyage présidentiel. Port de Casablanca : débarquement des passagers du Figuig qui escortèrent le président de la République Millerand lors de son voyage au Maroc, le 5 avril 1922. Présent : capitaine Watier, inspecteur adjoint des Eaux et forêts à Marrakech, qui fut tué le lendemain à mes côtés dans notre accident d'automobile sur la route de Casablanca à Marrakech. - 5 avril 1922
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38. Sur la route de Casablanca à Marrakech (après Settat) : l'automobile qui capota le 6 avril 1922 causant la mort de 3 personnes dont le capitaine des eaux et forêts Wattier et des blessures sérieuses aux autres voyageurs, parmi lesquels Jean Thomas, chargé de mission au Maroc, se trouvait. - 25 avril 1922 1
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2. Cruauté humaine !... Jusqu'à El Goléa, nous rencontrerons de nombreux troupeaux de gracieuses gazelles. Mais, si nous avions une excuse - recueillir pour le Museum des parasites intestinaux - pour frapper mortellement une de ces bêtes inoffensives, nous nous garderons de recommencer pareil exploit. A proximité de Berriane (13 juin) [1926]. 1
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7. On arrondit, en dos d'âne, les dunes aux versants trop à pic. A la pelle, on taille verticalement et horizontalement les flancs le long desquels il va falloir passer. On pose de gros blocs pour empêcher le sable de couler. Sur le chemin ainsi pratiqué, on place les planches, on déroule les toiles métalliques, on répand du drinn à profusion.
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14. A 14h30, après "la traversée de l'Enfer", selon l'expression des indigènes, nous arrivons au Paradis Terrestre d'El Goléa et faisons halte sur la place du général Laperrine. Une population de noirs, d'arabes, petits et grands, nous accueille avec enthousiasme. Le père d'Abaza nous reçoit à bras ouverts et les officiers du poste nous témoignent leur grande cordialité. Aucun télégramme n'est parvenu pour annoncer notre arrivée. Nous pouvons donc nous estimer heureux de ne pas être demeurés en panne. A ma gauche, le docteur Destang. A la gauche du Docteur, le lieutenant Soymié qui remplace actuellement le chef de poste. - 18 juin 1926. 1
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21. Après la visite des jardins de Mr Mohamed Abaza, visite qui me laisse émerveillé, nous sommes invités à prendre le thé à la menthe sous une ravissante tonnelle. Le tapis aux vives couleurs qui revêt la table est chargé de coupes remplies de dattes, d'amandes, d'arachides, d'oranges etc. Les tourterelles roucoulent et se répondent de toutes parts. A gauche, Abaza et son père. - 19 juin [1926].
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24. A quelques centaines de mètres à l'ouest d'El Goléa, s'étale une nappe d'eau limpide. C'est le lac de Bel Aïd [Beni Belaïd]. Il a été formé par le 1er puits artésien, creusé dans une dépression. On aperçoit, d'ailleurs, dans le fond et à gauche de notre photographie, les eaux jaillissantes et cristallines de ce puits. - 20 juin [1926].
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29. Au bas de la falaise où s'élève le Ksar, la fête débute, de bon matin, par des prières. Au pied d'un long mur d'une blancheur éclatante (le mur de prières), les indigènes sont prosternés, face à la Mecque. Au milieu, s'élève une petite loge (mihrab) aux murs épais, au sommet pointu. De là, l'Imam qui remplace le grand Marabout, dirige la prière. - 21 juin [1926].
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34. Et sur le sable, près d'une guémira dont le sommet émerge des dunes, nous nous coucherons pour dormir. La lumière de nos phares nous a permis de fixer, par une photographie, le souvenir de cette nuit au désert. Au 1er plan, se silhouettent le capot, une roue, l'aile et le phare droits. - 23 juin [1926]. 1
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95. Douz. Le Khalife des Mérazigues Si Belgacem Ben Rached âgé de 80 ans. Très dévoué à la cause française, il a réussi, pendant la guerre à maintenir l'ordre parmi ses administrés et à les empêcher d'entrer en dissidence. Sur son burnous rouge, sont attachées la croix de la Légion d'Honneur, la croix de guerre et celle de commandeur du Nichan, les médailles militaire et coloniale.
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