Reboisement du cirque de la Glère. - 1946. - Photographie

Détails : vue d'ensemble (640) et vue rapprochée (641). Les reboisements se sont poursuivis de 1928 à 1933. Dans un rapport du 3 décembre 1932, l'inspecteur du reboisement écrivait "la réussite a été satisfaisante jusqu'au mois de juillet 1932 mais à partir de cette date un grand nombre de plants âgés de 3 à 5 ans sont morts pour des motifs difficiles à apprécier, peut-être par suite des pluies trop nombreuses de l'été dernier. Il ne semble pas en tous cas qu'il faille attribuer ce dépérissement à la malveillance". Et le rapport ajoute "d'autre part les terrains qu'il était possible de reboiser sans soulever d'opposition de la part des usagers au pâturage auront été entièrement parcourus par ces plantations lorsque les travaux en cours (exercice 1932) seront terminés. Il conviendrait donc en 1933 de se borner à des réfections dans les parties reboisées en 1928 et 1929, pour remplacer les jeunes plants morts en 1932". Le point final était donc mis en 1933 (640). "Afin de contribuer dans la plus large mesure au maintient des terres dans la montagne, but essentiel à atteindre pour protéger la ville de Luchon contre le retour des crues et l'afflux des matériaux dans le lit de la Pique". Le service de reboisement de Toulouse a commencé en 1928 sur 3h50 le reboisement de terrains communaux au bas du cirque de la Glère, après avoir obtenu une subvention sur le produit des jeux. Les essences employées ont été : mélèzes, épicéas, sorbiers, pins à crochets. (641)