Sœurs du Saint Nom de Jésus (Toulouse). Toulouse, autorisation (1827), emprunts notamment pour la restauration du couvent sis rue des Régans à Toulouse (1846-1894), acquisition et vente d'immeubles à Vieillevigne, Gardouch, Montesquieu-Lauragais et Toulouse, rues du Vieux-Raisin et des Régans (1849-1882), demande d'autorisation de modifier le nom de la congrégation (1890) ; Rieumes, projet d'établissement d'une succursale, refus d'autorisation (1841) ; Cazères, établissement d'une succursale dans l'ancien couvent des Capucins (1844-1859), acquisition d'immeubles (1875) ; Montréjeau, établissement d'une succursale (1851-1854) ; Tarbes, acquisition d'un immeuble (1864).
Sœurs de la Sainte Famille de Nazareth (Le Plan). Le Plan, fondation de l'établissement (1854-1855) ; Saint-Geniès-Bellevue, fondation de l'école libre de filles (1855-1860) ; Plaisance-du-Touch, établissement (1857) ; Lavernose-Lacasse, plainte (1880-1881) ; Mancioux, aliénation de l'ancien couvent de Sainte-Radegonde (1893-1894).
Dames du Sacré-Cœur de Jésus (Paris). Reconnaissance légale (1857-1858), rétrocession d'immeubles (1859), quêtes à domicile (1878).
Sœurs de l'Immaculée Conception (Castres, Tarn). Fondation des succursales du Castéra et de Laréole (1860-1862), acquisition de terrains à Saint-Gaudens et Toulouse notamment sur les bords du canal de Brienne en vue de l'établissement d'une école communale de filles (1875), demande d'exemption de la taxe d'accroissement (1895-1896).
Sœurs de la Sainte-Famille (Villefranche-de-Rouergue, Aveyron). Acquisition du couvent du Rosaire et d'immeubles contigus sis à Toulouse (1869-1873).
Sœurs de la Sainte-Famille (Toulouse). Érection en maison indépendante après séparation d'avec la congrégation de la Sainte-Famille d'Amiens (1874-1875). (1827-1896)