Notice descriptive
Joseph-André-François de Péguilhan de Larboust (Fils d'Urbain de Péguilhan (30 août 1739-1814), Vicomte de Larboust, Garde de la marine, Marié à Louise de Latour). (1739 (30 août)-1807 (4 septembre))
Papiers personnels. Succession.
Papiers personnels.
Extraits de baptême (30 août 1739).
Nomination à une place de garde de la marine : lettres de Machault d'Arnouville, garde des sceaux, du comte de Vaudreuil et du comte de Breda (1755).
[Cette nomination est obtenue sur recommandation du comte de Breda auprès du comte de Vaudreuil, qui a lui-même mis à profit sa proximité avec un ministre.]
Contrat de mariage de Joseph-André-François de Péguilhan-Larboust et Louise de Latour (17 août 1789).
En annexe : acte de baptême de Louise de Latour (1er décembre 1767) ; actes de baptême de deux de leurs enfants : François de Péguilhan (né le 26 mai 1790) et Philippine-Elisabeth de Péguilhan (7 janvier 1792).
Documents relatifs à la cécité contractée par Joseph-André de Péguilhan (1757-1758).
Succession.
Testament de Joseph-André-François de Péguilhan de Larboust (4 septembre 1807).
Partage, fondé sur une estimation de 1784, entre les enfants de Joseph François de Péguilhan (Joseph Auguste de Péguilhan et Philippine de Saint-Pastou) des biens de leur père (après 1835)
À noter (Documents relatifs à la cécité...) : brouillon d'un certificat établissant que André-Joseph-François « a eu le malheur de devenir aveugle pendant la campagne qu'il a faite à Lile Royalle l'an 1757 [et qu'] en considération des services et pour l'aider à subsister » dans ce malheur, le roi lui a accordé « une pension de trois cents livres sur sa cassette » (1757).
Copie d'une ordonnance médicale (juin 1758).
Lettre de M. de Senac, chez qui les fils du vicomte séjournent : « Notre malade était aveugle et j'espère qu'il ne le sera plus. La maladie n'est pas facile à guérir. Elle résiste encore plus parce qu'elle date de huit mois. Mais heureusement la vue commence à se débrouiller. Il a perçu hier l'habillement d'une femme, et il en a distingué les diverses couleurs. » (s. d.).
Avis émis par le vicomte de Larboust, garant dans l'affaire, concernant le devenir de la seigneurie de Meymes, près d'Aignan (vers 1780 ?)
