Notice descriptive

Lettres envoyées par Urbain de Péguilhan. (1726-1774)

Contexte : Famille Péguilhan de Larboust (198 J) > Affaires privées. > Urbain de Péguilhan. > Correspondance. > Correspondance avec des hommes de loi.
Cote : 198 J 46
Intitulé : Lettres envoyées par Urbain de Péguilhan.
Date : 1726-1774

Présentation du contenu :

Lettres adressées à I. Serres, procureur au parlement, et autres, notamment Anthony et Bacqué, avocats (1726-1774).

Lettres adressées à Lavabre, avocat au parlement (1744-1767).

Quelques lettres adressées par Bacqué à Lavabre (1751-1752).

Requête d'Urbain de Péguilhan et de son fils François de Péguilhan adressée au parlement de Toulouse pour obtenir l'application à leur profit des dispositions prises dans divers arrêts de règlement concernant les droits honorifiques des seigneurs, les fonctions de leurs officiers, la reddition des comptes des marguilliers, les devoirs des consuls, l'exercice de la justice, les vendanges et les pâturages (1765).

Requête [vraisemblablement transmise par Urbain de Péguilhan] adressée au maréchal de Noailles par une habitante de Lalanne-Arqué, concernant des biens délaissés par des « fugitifs du royaume pour cause de religion réformée » (s. d.)



Autres données descriptives :

En annexe : frais de maladie et de sépulture pour « Mademoiselle de Larboust » (1765-1766).



Notes :

À noter (Lettres adressées à Lavabre...) : « On a deu ouvrir les enchaires et adjudications du décret sur la terre de Péguilhan à la troisième chambre des enquêtes. […] Si cette terre a été portée à la première anchère à vingt cinq mille frans, vous pourrés pousser vos dictes jusqu'à dix mille écus, et vous aurés la bonté de me donner des avis à mesure qu'on enchérira. » (13 janvier 1754).

« J'ai reçeu Monsieur votre lettre de mercredy dernier, par laquelle vous m'apprenés que les anchères pour la terre de Péguilhan ont resté à ma dite à trente mille frans. Je ne veux pas y mettre un sol en sus. Ainsi, si l'on couvre mon anchère, il n'y a qu'à rester tranquille. » (18 février 1754).

« Mon fils le chevalier vient de recevoir un présent du roy d'Espagne qui est superbe. C'est une tabatière d'or avec le portrait du roy d'Espagne enrichie de diamans. » (7 septembre 1760).

« La cruelle perte que j'ay faite de ma fille à Bagnères, Monsieur, m'a osté toute liberté de penser à pas une affaire. » (27 juillet 1765)

Sujet : famille / noblesse
Personne : Péguilhan, Urbain de
Organisme : Péguilhan de Larboust (famille)
Lieu de conservation : Toulouse - Site principal

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