Mémoire de ce qu'il est nécessaire de faire pour être reçu page du roi dans sa grande écurie (mars 1746).

État des actes envoyés à monsieur d'Hozier, généalogiste du roi, pour la preuve de noblesse de Philippe de Péguilhan, chevalier de Thermes, pour avoir l'agrément du roi d'être reçu page de la grande écurie (s. d.).

Lettres et brevets militaires pour Philippe de Péguilhan, chevalier de Thermes, notamment en tant que capitaine de cavalerie au régiment de la Viefville (1er juillet 1753) et écuyer ordinaire de la comtesse d'Artois (4 juillet 1773).

Lettre de remerciement adressée à Philippe de Péguilhan par les officiers du district des Filles-Dieu, à Paris, pour leur avoir accordé l'usage libre de la chapelle des petites écuries de Sa Majesté, dont il avait la garde (12 avril 1790).

Brevet de pension de 11800 livres en faveur de Philippe de Péguilhan (20 juillet 1788) et copie (1792).

Déclaration au commissaire liquidateur de la ci-devant liste civile, par les pensionnaires et gagistes (10 septembre 1793).

Déclaration de Philippe Péguilhan Larboust en demande de liquidation de tous arrérages d'appointements et de pension dont il jouissait sur la liste civile, provenant de sa place d'écuyer commandant de l'écurie du roi Louis XVI ; idem en demande de tous arrérages de gages attachés à sa charge d'écuyer ordinaire de Mademoiselle d'Artois, ainsi que la liquidation de ladite charge (14 juillet 1797)

Lettres et brevets militaires pour Philippe de Péguilhan... : pendant la période révolutionnaire, ces actes ont été produits par Philippe de Péguilhan pour réclamer une pension de retraite. Comme il ne put démontrer qu'il était dans un état d'indigence absolue, cette retraite lui fut refusée, et les documents lui ont été rendus « biffés et rayées comme nuls en réclamation ».

Brevet de pension de 11800 livres... : « Déclaration de mes services, de ceux de mes frères, et des arrérages qui me sont dus par la nation » (22 décembre 1792)