Notice descriptive

Dewoitine-Danel. (1921-1987)  

    1020 Ko - Dewoitine - Danel (56 J) (ouvre la visionneuse)

    1020 Ko

  • Contexte
  • Producteur
    Dewoitine, Émile
  • Historique de la conservation

    Les documents constituant ce fonds proviennent, outre les papiers personnels de l’avionneur, de trois sociétés successives : Société aéronautique française (1929-1937), Société nationale de constructions aéronautiques du Midi (1937-1940) et Société nationale de constructions aéronautiques du Sud-Est (1941-1957).

    Ils ont été réunis au fil de ses recherches par l’historien de l’aviation Raymond Danel (1923-1987), ingénieur chez Sud-Aviation puis à la SNIAS/Aérospatiale, biographe d’Émile Dewoitine et co-auteur avec Jean Cuny de deux ouvrages et de nombreux articles de presse dédiés aux avions Dewoitine. C’est à son entrée au bureau d’études de la SNCASE en 1941 qu’il a découvert le D.520, qui est resté son avion fétiche et le moteur de ses recherches historiques. Sa carrière professionnelle l’a amené à travailler sur des avions représentatifs du savoir-faire aéronautique français comme l’Armagnac, le Fouga Magister, le Dassault Mercure, le Concorde et les premiers Airbus. Cette connaissance du sujet « de l’intérieur » apporte à ses travaux historiques une indéniable valeur ajoutée.

    Communiqués par Émile Dewoitine lui-même, puis par sa veuve ou par des amis ou relations comme Gaston Artigalas et le docteur Lacroix, la plupart des documents émanent des bureaux d’études ou des méthodes, et revêtent de ce fait un caractère technique très marqué.

    Devenu dépositaire d’une aussi précieuse documentation, Raymond Danel a décidé d’en faire don ultérieurement à des entités qu’il jugeait garantes de la conservation de ce patrimoine écrit si particulier. C’est ainsi que les Archives départementales de la Haute-Garonne sont devenues propriétaires de cette mémoire technologique en septembre 1982.

    D’autres dossiers, de nature différente, ont été parallèlement confiés à l’Institut technologique des transports et communications (ITTC), intégrant ainsi les fonds du musée des transports et des communications de Toulouse. Ce dernier ayant récemment fermé, ses collections ont été réparties entre plusieurs institutions patrimoniales – musées et services d’archives – dont les Archives départementales de la Haute-Garonne, qui ont de ce fait accueilli en juillet 2020 un ensemble documentaire de 3,30 mètres linéaires.

    Enfin au début de l’année 2023, Gérard Danel, fils de Raymond Danel, a fait don d’un dernier dossier relatif à la sauvegarde du dernier D.520 et à son transfert au Musée de l’Air et de l’Espace du Bourget.

  • Modalités d'entrées

    Don

  • Dates d'entrée
    septembre 1982, juillet 2020, avril 2023

  • Contenu
  • Présentation du contenu

    Fonds classé (15.80 m.l.)

    Les documents constituant le fonds Dewoitine-Danel sont essentiellement des dossiers techniques provenant des bureaux d’études ou des méthodes des sociétés d'origine, Constructions Aéronautiques Emile Dewoitine (CAED) et Constructions Emile Dewoitine (CAD), puis de la Société aéronautique française (SAF), de la Société nationale de constructions aéronautiques du Midi (SNCAM), son successeur nationalisé en 1937 et enfin, de la SNCASE (Sud-est) qui a absorbé la SNCAM en 1941. L'ensemble des dossiers techniques relatifs aux avions est documenté par des dossiers administratifs, juridiques et comptables qui mettent en lumière les stratégies de développement, les moyens et l'organisation de la production ainsi que les relations avec les autorités de tutelle ou les clients. Par ailleurs, certains dossiers émanent du bureau d’études privé d’Émile Dewoitine, celui-ci ayant eu soin de séparer au moment de la nationalisation – à l’instar de son confrère Marcel Bloch – la conception et la réalisation.

    Parmi les documents techniques, on peut distinguer les liasses de plans de fabrication de prototypes ou d’avions de série, dont la plus importante quantitativement est celle du chasseur D.520 (4 201 plans), des dossiers d’études définitives qui rassemblent des dossiers de calculs (résistance des matériaux, devis de poids, etc.), rapports d’essais en soufflerie, plans d’ensemble et autres cahiers des charges. Il est à noter que les liasses de plans ne concernent qu’un nombre restreint d’appareils, notamment les derniers en date. Et malheureusement, pour quelques avions emblématiques comme le D.33 ou le D.338, seuls les dossiers techniques nous sont parvenus.

    Le fonds issu du Musée des Transports et de Communications de Toulouse (2020) est complémentaire du fonds initial des archives départementales. Ainsi, les avions de la période 1922-1928 sont largement documentés (du D.1C1 au D.26), tout comme les avions stoppés au stade du projet comme le D.420 ou les D.47, D.50 et D.50Bis à la genèse de la famille D.500. Les hydravions HD.730, HD.731 et HD.780 sont à découvrir grâce aux dossiers techniques et à une collection conséquente de plans.

    Enfin, les études des avions d’interception à réaction D.730 et D.740 ou des avions d’entraînement D.770 et D.760 des années 1950, largement méconnus, témoignent de la capacité créatrice d’un ingénieur visionnaire et toujours passionné malgré les procédures judiciaires successives.

    La complémentarité des fonds prévaut également pour les documents à caractère administratif, commercial et juridique. Les statuts de la Société aéronautique française (SAF), les comptes rendus des réunions du conseil d’administration et du comité directeur de la SNCAM de 1937 à 1940, les documents relatifs à l’organisation de la SNCAM en temps de guerre (mobilisation industrielle), les contrats commerciaux, les dossiers comptables et fiscaux éclairent les actions et orientations stratégiques d’Emile Dewoitine. Tandis qu’un dossier en langue espagnole relate ses activités à Madrid, Buenos Aires et Cordoba après 1944.

    Enfin, un dernier dossier est dédié à ses affaires contentieuses, administratives et judiciaires pendant la Seconde Guerre mondiale et au moment de la Libération jusqu'à la révision de son procès et la dernière tentative de demande de restitution de biens en 1975.

    Le tout est illustré par une collection de photographies consacrées aux avions Dewoitine et aux sites de production réunie par Raymond Danel.

    À ce matériau de première main s’ajoutent les notes, coupures de presse, brouillons et autres documents produits et rassemblés par Raymond Danel au cours de ses années de recherche. Pour finir, les documents remis en 2022 par son fils, Gérard Danel, retracent les actions de sauvegarde du D.520 n°406 engagées par Aérospatiale et le musée de l’Air et de l’Espace du Bourget.

  • Tris et éliminations

    Les fonds ont été conservés en intégralité.

  • Mode de classement

    Depuis l’entrée de ce fonds aux Archives départementales en 1982 et durant de longues années, seuls les documents relatifs au Dewoitine D.520 étaient consultés, aussi la cotation a-t-elle débuté dès l’origine par cet avion particulier alors même qu’il s’agit de l’une des dernières réalisations d’Émile Dewoitine. Ainsi la cote 56 J 1 correspond-elle au D.520, ce qui n’est pas cohérent au regard de l’ensemble du fonds. C’est pourquoi il a été décidé d’établir un répertoire méthodique plutôt que numérique, afin d’éviter de reprendre les travaux de classement amorcés ou déjà effectués et de recoter l’ensemble.

    Le choix du répertoire méthodique a été confirmé par l'entrée des deux fonds provenant du musée de Transports et des Communications de Toulouse (ITTC) et de la famille de Raymond Danel. Les articles cotés de 1 à 92 appartiennent au fonds initial des Archives départementales de la Haute-Garonne. Les articles cotés de 93 à 140 proviennent du musée des Transports et des Communications de Toulouse. L'article 141 a été donné par la famille Danel.

    Pour la commodité d’emploi, l’instrument de recherche propose un accès chronologique par sociétés de construction, puis répertorie les appareils dans l’ordre numérique de leur appellation. Il faut toutefois préciser que la numérotation des avions suit une logique particulière : les deux premiers chiffres désignent généralement le type d’appareil. Lorsqu’un troisième chiffre est mentionné, il s’agit d’une version différente ou d’un dérivé du même type. Par exemple, le projet d’hydravion de course HD.41 a fait l’objet de deux versions respectivement dénommées HD.410 et HD.412.

    Sauf exception, les documents relatifs à un aéronef donné ne dépassent pas le volume d’un article. Ainsi à une cote correspondra généralement un avion précis. Seuls cinq appareils nécessitent de répartir les ensembles documentaires les concernant dans plusieurs articles. Le classement des plans de fabrication fait alors l’objet de sous-ensembles, à commencer par les « groupes » définis par le constructeur. Dans chacun de ces groupes, chaque partie de l’avion est identifiée et regroupe les plans afférents, constituant ainsi un dossier particulier.

    Le cas particulier des plans :

    Les plans sont arrivés classés dans leur ordre chronologique : ils portent chacun un numéro d’ordre permettant de les situer les uns par rapport aux autres, en fonction de leur établissement par le bureau d’études. Cependant, plusieurs parties d’un même avion étant élaborées en même temps, cette numérotation ne permet pas une lecture aisée des documents.

    On respecte la structure par groupes employée par le constructeur. Chaque groupe correspond à une partie de l’avion : voilure, fuselage, empennage, atterrisseur, motorisation, équipement et armement pour les avions de guerre. À l’intérieur de chaque groupe se trouvent des sous-ensembles dans lesquels sont répartis les plans concernant chaque pièce intégrant ces sous-ensembles.

    Le cartouche du plan illustre clairement cette structure hiérarchisée. Outre le nom de l’entreprise et l’appellation de l’avion, on peut y lire le numéro d’ordre du plan et son intitulé, ainsi que les noms du dessinateur et du vérificateur, avec les dates correspondantes. Enfin, le cartouche indique le numéro du plan d’ensemble auquel le document se réfère, ainsi que celui de l’éventuel plan de détail qui s’y rattache. Ainsi, chaque plan est précisément identifié et repéré dans la logique de fabrication et d’assemblage des éléments constitutifs de l’avion.

    Groupe 0 – Plans n'étant rattachés à aucun groupe

    - housses de protection

    - blocage des commandes

    - outillage spécifique

    Groupe 1 – Voilure

    Sauf cas particulier, il n’existe pas de plan concernant l’aile droite, celle-ci étant symétrique de l’aile gauche.

    - longeron

    - partie centrale (le cas échéant ; par exemple pour l’aile du D.520s)

    - partie avant gauche

    - partie avant droite, pour les pièces spécifiques

    - partie arrière gauche

    - partie arrière droite, pour les pièces spécifiques

    Groupe 2 – Fuselage

    On envisage les éléments en progressant du nez vers la queue de l’appareil.

    - cadres (couples doubles)

    - couples

    - longerons

    - lisses

    Groupe 3 – Empennage

    - dérive (ou plan fixe vertical)

    - plan fixe horizontal

    - parties mobiles du plan horizontal

    - gouvernail (partie mobile du plan vertical)

    Groupe 4 – Atterrisseur

    Cas particulier des hydravions :

    - flotteurs

    - cabane (agencement des mâts)

    Groupe 5 – Motorisation

    - bâti moteur et capotage

    - circuit d’essence

    - circuit d’huile

    - circuit d’eau

    - commandes moteur

    Pour les différents circuits, on envisage dans l’ordre :

    - réservoirs

    - radiateur

    - canalisations

    Groupe 6 – Équipement

    Poste de pilotage :

    - planche de bord (fixée au fuselage, sauf sur le D.551 où elle est intégrée au fuselage)

    - plancher

    - siège

    - supports d’équipement (pneumatique, gaz, etc.)

    - radio

    Cabine (avions commerciaux) ou postes d’équipage (multiplaces militaires) :

    Les différents postes sont considérés du nez vers la queue de l’appareil.

    Groupe 7 – Armement

    - voilure

    - moteur

    - fuselage le cas échéant (ex. bombardier)


  • Indexation
  • Sujets
    entreprise publique / entreprise industrielle / industrie aéronautique / industrie de l'armement / industrie mécanique / aéronef
  • Lieux
    Toulouse (Haute-Garonne, France) / Haute-Garonne (France ; département)
  • Personnes physiques
    Dewoitine, Émile
  • Organisme
    Musée des Transports et des Communications (Toulouse, Haute-Garonne, France)

  • Conditions d'accès et d'utilisation
  • Modalités d'accès

    Communicable

  • Modalités de reproductions

    Se reporter aux règlements en vigueur.

  • Lieu de conservation
    Toulouse - Annexe de conservation

  • Sources complémentaires
  • Cotes associées (même producteur)

    1 J 1863. Papiers Dewoitine. Correspondance reçue par Émile Dewoitine, photographies de Marcel Doret et de son équipage, extrait du catalogue des constructions aéronautiques Dewoitine. 1931-1935

    62 Fi. - Fonds Airbus. Photographies provenant des sociétés aéronautiques successives : constructions aéronautiques Émile Dewoitine, constructions aéronautiques Dewoitine, société aéronautique française, société nationale de constructions aéronautiques du Midi, société nationale de constructions aéronautiques du Sud-est, sud-Aviation. 1921-1960

    46 FI 10. - Album d'entreprise sur les avions Dewoitine. Service incendie. SNCAM (société nationale de constructions aéronautiques du Midi). Photographie. [1940]

    1 MI 817. - Société nationale de constructions aéronautiques du Midi (SNCAM). - Avion Dewoitine D.520 : cahier d'étude de fabrication. 1939

    1 MI 905. - Représentation du plan de fabrication de série, s.d. Les avions de chasse Dewoitine D 500, 501 et 510, s.d. Clauses techniques D 520, s.d. Les prédécesseurs du Dewoitine 520, s.d.

  • Cotes associées (autre producteur)

    8081 W 62. Affaire Dewoitine, Émile (administrateur délégué de la Société nationale de constructions aéronautiques du Midi, SNCAM). 1938-1939

    3572 W 426. - Dossiers correctionnels Tribunal de Toulouse : affaires de corruption de Dewoitine. 1938-1941

    2105 W 2. - Correspondance et rapports d'une part entre le secrétaire d'État à l'aviation et le garde des sceaux, ministre de la justice, d'autre part entre le procureur général et le procureur de la république de Toulouse, le juge d'instruction, le commissaire central, le contrôleur général concernant l'inculpation d'Émile Dewoitine, ancien administrateur délégué de la société nationale de construction aéronautique du midi, pour abus de confiance à la suite de la plainte en corruption, en date du 16 janvier 1941, du secrétaire d'Etat à l'aviation ; rapports d'enquêtes relatifs à l'affaire Dewoitine-Olaer et Dewoitine-Galte ; décision du juge d'instruction plaçant Dewoitine sous dépôt, conclusion du ministère public, ordonnance de mise en liberté provisoire ; rapport établi par le contrôleur de 1ère classe de l'administration de l'Aéronautique Auphan (1941) à la suite d'une ordonnance de non-lieu ; demande de reprise de poursuites par le procureur général (décembre 1944) ; rapport du procureur au procureur général en date du 4 janvier 1945 concluant à l'impossibilité de reprendre les poursuites sans survenance de charges nouvelles ; envoi par le procureur au gouverneur général militaire de Paris de deux dossiers d'informations clôturés par ordonnance de non-lieu et concernant Dewoitine et autres (1949). 1941-1949

    1 MI 903. - Industrie aéronautique. 1) Notice technique des moteurs d'aviation Hispano Suiza type 12 Y ; 2) Notice technique moteur 12 X, société française Hispano Suiza ; 3) Notice technique démarreur Viet ; 4) Description technique du moteur d'aviation Hispano Suiza, 1914-1940 ; 5) Notice descriptive de l'avion Dewoitine type 520, 1942. [s.d.]-1942

    1 NUM 14. - Collection de M. Thierry Fournier. Photographies extraites du document "Société nationale de constructions aéronautiques du Midi – Avions Dewoitine. Usine de Toulouse", numérisées en février 2005. (s.d.)

    D’autres sources permettent de compléter utilement les recherches tant sur Émile Dewoitine que les avions qui portent son nom, ou encore les entreprises qui lui sont associées. Elles se trouvent pour l’essentiel aux Archives nationales, au Service historique de la Défense ou encore au Musée de l’Air et de l’Espace

  • Bibliographie

    CASTELLO, Christian. Planeurs et avions : itinéraire d'un toulousain, Robert Castello, de 1922 à 1927, de Dewoitine à Sud aviation en passant par les Éts Fouga. Verfeil-sur-Seye : Le Lézard, 1993. (BH in 8° 3781)

    DANEL, Raymond. Émile Dewoitine. Créateur des usines de Toulouse de l'Aérospatiale. Paris : Éd. Larivière, 1982. (BH in 8° 6041)

    DANEL, Raymond, CUNY, Jean. Les avions Dewoitine. Paris : Éd. Larivière, 1982. (BH in 8° 6055)

    DANEL, Raymond, CUNY, Jean. Le Dewoitine D.520. Paris : Éd. Larivière, 1982. (BH in 8° 5041)

    GASTE, Pascal. Émile Dewoitine, concepteur d'avions aux idées novatrices. Midi-Pyrénées Patrimoine, 2010, H.S. n° 2, p. 26. (BH per 284 2010)

    MARCHAND, Patrick, TAKAMORI, Junko. Les Dewoitine D.500-510. Le Muy : Éd. d'Along, 2004. (BH br 4° 3178)

    OLIVIER, Marie-Madeleine. Biographie résumée d'Émile Dewoitine. Histoire des Communications dans le Midi de la France, 2008, vol. XXII (22), p. 1. (BH per 45 2008)


  • Notes
  • Il existe au minimum cinq jeux de plans de fabrication : un original sur calque et quatre tirages sur Ozalid (procédé chimique).

    L’original et l’un des tirages sont conservés par le bureau d’études. Un deuxième tirage est destiné aux archives de l’entreprise, un troisième est adressé au bureau des méthodes (chargé d’étudier les outillages nécessaires à la production), le quatrième étant envoyé au ministère de l’Air.

    Les plans relatifs au D.520 proviennent du bureau des méthodes de la SNCAM, ce qui y explique l’absence de plans d’études : seules sont envisagées les pièces prévues pour la production et leur modification éventuelle.

    Raisons possibles des manques constatés :

    1. Numéro attribué a priori pour une étude qui n’a pas abouti (ex. circulation d’huile pour un moteur spécifique). Dans ce cas, le plan n’existe pas.

    2. Plan tracé sans avoir été intégré dans la liasse.

    3. Plan tracé, mais perdu.

    Plans en multiples exemplaires : il peut exister différentes versions (ex. circulation d’eau sur le D.520). Dans ce cas, on trouve dans le cartouche la mention « annule et remplace… ». Il convient alors de relever la date du plan et le nom du dessinateur.


  • Contrôle de la description
  • Rédacteur

    Répertoire méthodique établi par Pascal Gaste (archiviste chargé des fonds aéronautiques) et Fabienne Péris-Raimbault (responsable du classement des archives publiques contemporaines), sous la direction d’Anne Goulet (directrice des Archives départementales de la Haute-Garonne) et de Nathalie Regagnon (directrice adjointe), avec la participation de Philippe Kouache (assistant archiviste) en 2023.

  • Date de création :
    05/11/2021 16:19:21
  • Dernière mise à jour :
    20/02/2024 16:16:52
  • Règles de description
    Norme ISAD(G) du Conseil international des Archives, 2è édition, 2000
    Suivant les recommandations de l'instruction DITN/RES/2005/005 du 13 juin 2005 sur la normalisation de la description archivistique et l'ouvrage Les Instruments de la recherche dans les archives de Christine Nougaret et Bruno Galland (1999), adaptées au contexte des Archives départementales de la Haute-Garonne.

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Pour aller plus loin

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