Ces documents ont été choisis parmi un volumineux fonds familial d’archives, qui a eu la chance de ne pas être dispersé depuis sa création.
Ce sont les archives de la famille Lacaze, dont deux membres furent conseillers au parlement de Toulouse au XVIIIe siècle.
Les documents présentés vont du début du XIVe siècle au 1er Empire.
Ces archives concernent essentiellement la famille Lacaze et des familles collatérales, issues de la bourgeoisie toulousaine (hommes de loi, imprimeurs, capitouls, conseillers au parlement, propriétaires fonciers) :
- les ancêtres : Montfort, Palosse, Dieuzaide, Bonnefoy, Castelmary ;
- les collatéraux : Pijon, Mouilhet, Lassus Saint-Genies, Rouzaud, Durrieu, Darribat, Bonnel ;
- la famille proprement dite : Lacaze-Rochebrun, Lacaze-Montfort, Lacaze-Villières ;
- des possesseurs de la terre de Villières avant Lacaze (Bonnefoy) ;
- des personnes à qui les opposent de longs procès (Lingua de Saint-Blanquat en particulier).
L’emploi d’une particule n’est pas toujours une attestation de noblesse, surtout au XVIIIe siècle. Certaines fonctions permettent d’acquérir des titres de noblesse provisoires.
La famille Lacaze, au cours des siècles eut des biens non seulement au L’Herm, mais aussi à Capens (31), à Toulouse, à Castelnau d’Estrétefonds et à Cépet.
Des pièces d’archives concernent des terres sises à Castelmary (Aveyron), à Bouloc (Tarn et Garonne). Plusieurs documents ont été écrits à Castelnaudary (Aude).
Archives les plus courantes de ce fonds :
- Actes de ventes ou d’achats, partages, baux, donations, titres de propriété.
- Quittances, reconnaissances de dettes ou créances, obligations, acomptes, reçus.
- Pièces de procédure, expertises, inventaires.
- Actes d’état civil, mariages, décès.
- Testaments, dots, diplômes.
- Livres de raison.
- Impôts et taxes, réclamations fiscales.
- Lettres.
- Livres manuscrits.
- Imprimés